Brooklyn Meadow WILLIAMSON

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❝ • 21 ans • 28 Décembre 1988 • Australienne • groupe • Jade Lavoie • Meady • Danseuse professionnelle • Accro au Nutella et à l’adrénaline • Narcissique, Possessive, Têtue à souhait et Touche à tout • Heureuse, Perfectionniste, Ouverte et Complètement folle • Célibataire • Ne peut même plus se séparer de son iPhone, raide dingue de son appareil photo, a toujours dans son sac à main ses RayBan, trouve tout le temps un moyen d’être en possession de Café de chez Starbucks, et ne peut pas vivre sans avoirdans un rayon de trois mètres sa peluche minuscule fétiche • Famille pratiquement inexistante – parents décédés, grands parents vieux et complètement dingues , exceptée sa sœur jumelle qui compte plus que tout • Et Fidèle en amitié, elle serait capable de faire n’importe quoi pour ceux qu’elle aime • Les mecs, ça la connait. Elle ne leur fait juste pas assez confiance, pour cause, elle préfère se protéger dans les histoires d’un soir ! • ❞

Voglio sapere la tua storia.

28 Décembre 1988. Premier cri, premiers pleurs, première bouffée d’air. En ce matin pluvieux d’automne, l’hôpital le plus chic de la grande et belle ville de Melbourne accueille Brooklyn Meadow Williamson-Stone, pour sa première journée d’existence sur Terre. Cependant, si ce jour marque à jamais la naissance de cette future bourgeoise brillante, elle remémorera également dans les mémoires de la grande famille le décès de la mère, Wendy Luba Stone, n’aillant pas survécu à l’accouchement de sa deuxième et dernière fille. Du bonheur, de la tristesse, la vie et la mort en ce jour de Novembre. Monsieur Williamson n’aillant plus que ses yeux pour pleurer et ses filles pour combler ce vide atroce que peut causer la perte d’un être cher, d’une femme adorée, avait dans ses bras le deuxième plus beau cadeau que la vie ne lui a jamais offert. Certes un cadeau empoisonné, mais quoi de plus beau qu’une naissance ?

Andrew Heath Williamson était un Français – venant de Paris - très affectif, à l’écoute et dévoué, même à la base. A ses yeux, Alice Hope et Brooklyn Meadow étaient ses deux trésors, semblables à deux rayons de soleil venues éblouir cette vie brumeuse et sans aucun sens. Décidé à leur offrir la meilleure vie possible, il fût un père qui compta pour deux, très présent et littéralement adorable, durant toute l’enfance, aidé par les deux parents de sa défunte femme, donnant aux deux demoiselles tout ce qu’il fallait pour grandir correctement, sans le soutient d’une mère, soit de l’affection, une bonne éducation, une oreille attentive à tous les besoins, une aide aux devoirs le soir, des sorties familiales, mais également de l’argent. Bien que leurs grands parents soient tout deux encore en vie, elles étaient les seules héritières de la fortune Stone, et étaient deux petites filles millionnaires – grâce à l’entreprise familiale Américaine principalement, basée sur la technologie de demain, mais cet argent combiné aux richesses d’Andrew, qu’il avait récolté grâce à ses bons et loyaux services à la Nasa quelques années plus tôt, elles avaient, à respectivement 3 ans et demi et 5 ans, aucun soucis à se faire quand à leur avenir, avec leurs millions attendant patiemment leurs dix huit ans dans une banque Australienne très sûre.

Riches, jolies, adorables dans leurs jeunes années. Très vite, les deux sœurs furent comme des jumelles, se comportant comme telles, avec cette capacité à deviner ce à quoi pense l’autre, ce qu’elle ressent. Cependant, Brooklyn se démarqua très vite de son aînée lorsqu’elle entre à l’école primaire, à peine âgée de six ans. Les professeurs se rendirent très vite compte que la petite tête brune avait une intelligence sur développée, une capacité de logique et de compréhension excessivement supérieure à la moyenne. Après divers tests dans des cabinets spécialisés, tous décrétèrent que la benjamine Williamson était brillante, alors qu’elle était à peine plus grande que trois pommes. Elle était déjà promise à de grandes études, une très belle et longue carrière qui ne ferait qu’accentuer la fortune familiale. Heureux de cette nouvelle, Andrew mit donc Brooklyn dans une école spécialisée, adaptée à ses capacités – ce genre d’école très strictes, unisexe, avec les uniformes qui vont avec, donnant toute l’attention nécessaire à leurs petits génies - afin qu’elle puisse développer ce don, héritage de sa brillantissime mère, ainsi que toute la lignée Stone. Ainsi donc, les deux sœurs inséparables, lorsqu’elles eurent huit et dix ans, furent scolarisées ensemble dans une grande institut de San Francisco, tellement chère que seule l’élite pouvait étudier entre ces murs.

Certes, l’école n’était peut être pas adaptée au niveau moyen de l’aînée, Alice, mais Brooklyn ne laissait pas sa sœur dans la détresse, tout comme les professeurs et leur père. Cependant, Alice, elle, trouva sa voie dans la musique, et intégra très vite le département de leur école, avec la spécialité composition. Brooklyn, quand à elle, en plus de briller de milles feux dans tous les domaines, devint très vite une des têtes populaires de son lycée, grâce à son caractère sociable et ses manies de têtes d’affiche. Dès le collège, elle prit l’habitude d’être à la pointe de la mode, et usa de son argent pour pouvoir l’être, et cependant, contrairement à la « cour » qui la suivait tout le temps, elle n’avait pas besoin des magazines pour savoir ce qui allait ensemble, et ce qui étaient les tops et les flops du moment. Son rêve, déjà à cette époque là, était l’Italie. Elle rêvait de quitter Melbourne pour une ville Italienne, tout comme sa sœur – qui le fit dès qu’elle eut son diplôme de fin d’année. A cet époque, elle développa sa passion pour la danse, et commençait déjà à bien se débrouiller. Elle aimait ce sport plus que tout, et préférait mettre de côté ses études plutôt que cette passion. Pour elle, c’était tout.

Pendant ses années collèges et lycées, il n’y avait rien de très important à signaler, bien qu’elle se soit fait repérer par des personnes lors de ses spectacles de danse moderne. Autrement, l’évolution d’une adolescente normale projetée à la tête de l’affiche, une fille complètement admirée, douée. Histoire de cœur, histoire de reproches, histoire d’amitié. Elle vécut en tant que Australienne riche normale – en passant outre son intelligence et ses dons pour la danse, passait ses journées entre les murs de cette institut, ses après midi dehors à chanter et danser avec ses amis, ses soirées à boire et faire la fête, bien qu’elle n’est jamais été dans le genre à abuser non plus. Non, elle aimait être saoule comme il le fallait. Ce genre d’adolescence que tout le monde désire, que tout le monde regarde à la télé. Membre de l’équipe de pom-pom girl - rêve américain en force ! - elle était également sportive ; mais n’était jamais première aux compétitions, et ne passait pas son temps au stade pour s’entrainer. Non, elle aimait juste ça, et puis, elle avait de l’énergie à revendre. Une fille parfaite dans un monde parfait, restait plus que sa mère, décédée, qui lui manquait plus qu’elle ne le laissait voir. Ce monde était pourtant bien trop beau.

Elle avait une meilleure amie, Abby-Lee. Elle avait une mère également riche, et passait ses soirées avec elle, à parler, à rire, à être elle-même, à parler de mode, faire toutes ses choses que l’on fait qu’avec sa meilleure amie. Elle l’adorait littéralement – elle aurait donné sa vie pour elle, bref, la meilleure personne qui puisse exister sur cette Terre. Un soir, alors qu’elles avaient toutes les deux bus – peut-être un peu trop pour prendre la voiture - à une soirée d’après bal de promo, elles rentrèrent chez Abby, afin de finir en beauté cette année, après avoir eu leur diplôme (avec félicitations du jury bien sûr). Brooklyn s’installa derrière le volant, démarra la voiture. Chose normale, elle avait déjà fait cela des millions de fois. Mais elle ne fit pas attention. A un croisement, elle grilla un feu rouge, et une autre voiture percuta le côté passager ; et Abby-Lee y laissa sa vie.

Autant dire que ce jour là, Brooklyn Meadow vit sa vie s’écrouler. Pour elle, elle avait le sang de sa meilleure amie sur ses mains, l’avait tué, et c’était de sa faute. Jamais elle n’aurait du prendre cette putain de voiture, alors qu’elle était saoule – pas beaucoup, mais assez pour oublier qu’au rouge il fallait s’arrêter. Les mois qui suivirent, ces mois d’été, furent très durs pour elle, mais également pour son père, ses grands parents, sa sœur. Ils voyaient le mal qui rongeait leur petite lumière, voyaient à quel point elle était atteinte par cette nouvelle. Elle finit par se diriger, après de longues hésitations, dans le milieu médical, en chirurgie plus exactement, dans le but de réparer son erreur, sauver des vies, pour tenter de se racheter elle-même de cet assassinat. Elle décida de rejoindre sa sœur en Italie, pour tenter d’oublier le drame, et ne pas être seule, abandonnant la danse et laisser son père avec ses grands parents en Australie. Elle suivit les deux premières années d’étude, animée de plus en plus par ce désir de soigner les personnes, et les réussit, sans même trop travailler. Douée un jour, doué toujours, on a parfois du mal à comprendre pourquoi lors des examens elle obtient toujours les meilleurs résultats. Cependant, même si elle toujours aussi joyeuse, elle est hanté pas Abby-Lee. Le soir, elle croit même voir son fantôme, et est presque sur, qu’un jour, sa meilleure amie a tenté de lui parler, tout en lui chuchotant que sa mère allait bien, là haut.

Elle finit, après sa deuxième année d’étude finie, par s’orienter dans la Danse. Cette passion lui manquait trop, et elle en conclut qu’elle devait en faire son métier. Elle reprit les entrainement, s’inscrit dans une université spéciale. Elle avait voué un culte à cela toute sa vie, alors elle décida de mettre de côté ses pulsions de super héro. Elle recommença à chanter. Mais la plupart de ce qui sort de sa plume ou de ses chorégraphies est en rapport à son amie, Abby-Lee. Des indices, des clins d’œil… Tout.

Domande, per capirti ancora piu.

Alors, commençons simplement. Tu sais, ici nous sommes tous égaux, on a tous déjà fait quelque chose de mal.. Moi par exemple, j'ai déjà volé un bonbon à la boulangère. Quoi ? Ils étaient gratuits? Mais nan tu rêves mon chou.. Eh bien, puisque tu es si malin, vas-y dis-moi ton plus grand pêché?

+ réponse.

Dans la vie nous avons tous un jour ou l'autre des regrets... Comment cela tu n'en as pas? Non, je ne te crois pas le moins du monde! Dis moi quel est ton plus grand regret? Allez comme je suis géniale, je te dis mon seul regret : de ne pas t'avoir encore rencontré. Vasy, je t'écoute...

+ réponse.

Et si tu pouvais tout effacer, le ferais-tu? Car je connais quelqu'un qui pourrait t'en donner les moyens... Mais toute action a une conséquence et un prix. Alors réfléchit bien avant de me donner ta réponse... A moins que tu ne l'ai déjà fais?

+ réponse.

Et une petite dernière, juste pour la route. Oui, je sais je suis un ange... D'ailleurs, je commence à penser que ce n'est pas ton cas ! Voyons ne t’offusque pas... C'est que tu ne m'as encore pas dit quel est pour toi, la perfection, l'instant parfait ou encore le bonheur? Oui, voyons dis-moi touut! Je veux connaître tous ce que personne ne sait, tes plus noirs secrets. Le meilleur pour la fin ;)

+ réponse.

C'è una persona dietro il computer.

Moi ? C’est Jilly. Ouais, Jilly comme J, I, L, L, Y, vous savez, un prénom bien trop bizarre pour une personne d’une vie aussi banale que la mienne. J’ai 16 ans d’existence sur Terre, à hurler de rire et à sauter partout comme un Minimoys. Je suis dans le genre « tout va bien dans le meilleur des mondes » et je préfère garder le sourire plutôt que m’enfoncer dans la déprime, bien que j’ai eu comme tout le monde mon lot de drames, tiens, ça me donne envie d’écrire Ti amo milano ! Je suis Française comme il se doit, bien que j’ai toujours eu cette passion pour les pays étrangers – la preuve, j’ai une deuxième famille en Australie, et je suis justement dans l’avion pour Charles de Gaulle en train d’écrire cette fiche. Autrement, je suis une passionnée de Littérature et d’Arts. Mais bon, après tout, tout le monde s’en fou.

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