ERASMO ALCEO ROCCATELLI

(c) MISS VOLCHOCK

❝ • 25 ans depuis peu • 26 juillet à Milan • italiennes • HO PENSATO A QUESTO • Chace Crawford • Eram• acteur • les fruits rouges, la glace à la vanille et la musculation (je ne rajouterais pas un certain sourire) • tes grands défauts Irréfléchi, maladroit, égoïste, un brin matérialiste • tes petites qualités. Sociable, attachant, fidéle, insouciant • milliardaire • Jamais sans eux ! (5) • Je ne sais pus vraiment ce que c'est • Je peux compter mes vrais amis sur les doigts d'une main et ça me suffit. • L'amour n'est égale qu'à la souffrance • ❞

Domande, per capirti ancora piu.

Alors, commençons simplement. Tu sais, ici nous sommes tous égaux, on a tous déjà fait quelque chose de mal.. Moi par exemple, j'ai déjà volé un bonbon à la boulangère. Quoi ? Ils étaient gratuits? Mais nan tu rêves mon chou.. Eh bien, puisque tu es si malin, vas-y dis-moi ton plus grand pêché?

Ce n'est certainement pas un sujet que j'évoquerais avec une journaliste. Sachez que mes pêchés tel qu'un vol à l'étalage, ne regardent que moi, ma jeunesse, et ma complice que je ne nommerais pas. Pourquoi? Parce que je ne tiens pas à voir étaler ma vie dans vos papiers ce que votre côté humain peut parfaitement comprendre, j'en suis certain. Et c'est tout à fait inutile d'insister pour avoir une réponse, je vous donnerais la même mot pour mot.

Dans la vie nous avons tous un jour ou l'autre des regrets... Comment cela tu n'en as pas? Non, je ne te crois pas le moins du monde! Dis moi quel est ton plus grand regret? Allez comme je suis géniale, je te dis mon seul regret : de ne pas t'avoir encore rencontré. Vasy, je t'écoute...

Un regret.... Le manque de courage. Je ne dis pas ne pas en avoir, moi qui déteste toute forme de lâcheté chez moi ou chez les autres. Cependant , c'est une notion qui me manque dans certain domaine et je risque de le regretter. Pour être plus clair, je ne sais pas comment aborder la personne qui saurait me faire rêver à autre chose qu'à cette vie, bien que je ne regrette absolument pas mon existence. Mais je sais au fond de moi, que je pourrais avoir bien plus si j'avais le cran de lui en parler.

Et si tu pouvais tout effacer, le ferais-tu? Car je connais quelqu'un qui pourrait t'en donner les moyens... Mais toute action a une conséquence et un prix. Alors réfléchit bien avant de me donner ta réponse... A moins que tu ne l'ai déjà fais?

C'est une tentation que d'effacer certaines choses pour mieux les refaire. Je ne nierais pas y avoir déjà pensé. Peut-être en serais je autre part, peut-être aurais je gagner plus au niveau lien avec les autres. Je ne peux pas réellement dire qu'ils soient intenses avec les personnes que je côtoies aujourd'hui, à savoir les gens plus qu'intéressés par mon image ou encore mon compte en banque. Mais je ne regrette pas ma vie, je ne regrette pas mon succès et même en recommençant, je suis certain que mes choix seront à peu près les mêmes. Mais j'avoue la désirer assez pour en avoir envie parfois. Et non vous ne saurez pas son nom..

Et une petite dernière, juste pour la route. Oui, je sais je suis un ange... D'ailleurs, je commence à penser que ce n'est pas ton cas! Voyons ne t'offusques pas... C'est que tu ne m'as encore pas dit quel est pour toi, la perfection, l'instant parfait ou encore le bonheur? Oui, voyons dis moi touut! Je veux connaître tous ce que personne ne sait, tes plus noirs secrets. Le meilleur pour la fin ;)

[éclat de rire] Certes, je ne prétends pas être un ange et je n'en ai pas l'intention. Quelle vie lisse aurais je si j'étais parfait? J'ai des défauts que je sais assumer, des désirs qui ne devraient pas naître, des envies qui ne devraient pas exister... Je vais sans doute vous étonner en avouant que le bonheur n'est pas dans l'argent, ni la célébrité. L'argent n'apporte qu'un confort qui améliore la qualité de vie. Non... Mon bonheur réside dans son sourire, sa façon de rire, de s'ébouriffer les cheveux le matin ou encore l'éclat de ses dents blanches lorsqu'elle est malicieuse. Je vous l'ai dit, je la désirerais assez pour vendre mon âme au diable. Mais je ne le ferais pas. Car notre situation actuelle, bien que difficile à gérer parfois, me convient. Du moins pour le moment. Je l'ai près de moi et elle m'a l'air heureuse. Pour moi, cela suffit à mon propre bonheur. Ceci répond à votre question Signora?

C'è una persona dietro il computer.

Que de questions une nouvelle fois. Je ne parlerais que de l'écrivain bien masculin qui réside. Oui j'aime écrire, faire couler les mots sur le papier et faire rêver lorsque j'en ai l'occasion ma partenaire de RP. J'aime innover, contrer les plans, et me montrer imprévisible. Je ne pense pas ennuyer les gens et lorsque je suis accroché, je suis souvent dans les parages et je répond très souvent. J'ai connu ce forum sur PRD et je ne pense pas partir de sitôt si je parviens à avoir le personnage dont l'histoire m'intéresse. ; ) Quand au code, c'est ok by Cacey', si je n'ai pas mal lu le règlement xD

C'était un pâle soir de septembre. Un regard qui s'attarde de l'autre côté de la rue alors que les cris semblent résonner sur les murs de la belle maison en bord de mer. Le vêtement vola avant que la porte ne claque, les talons s'appuyant contre le sol pour parvenir le plus rapidement possible chez la voisine d'en face. Après des années passées à déprimer sur la non volonté du ciel à ne pas lui accorder d'enfants. Vu les cris, ce ne peut qu'être un petit garçon.... Un petit neveu. La plus jeune sœur s'approcha de la chambre de son aîné pour voir celle ci pressant un bébé dans ses bras. La famille semble enfin s'agrandir et la joie bouleversant son coeur à la vue du visage de la maman ramène un peu de lumière dans la vie maussade qu'elle mène en raison des absences fréquentes de son mari étant un acteur réputé dans le monde. La célébrité... Elle a gâché sa vie de couple. Mais désormais, elle pourra prendre soin de son neveu et s'occuper un peu l'esprit loin de la tristesse.

Mes mains glissèrent sur le pantalon de ma mère tandis que je m'accrochais à elle, mon visage se frottant contre le tissu de son pantalon. Ce n'était qu'une petite fille aux grands yeux vert, mais je me sentais intimité par l'inconnu. Ce fut donc vers ma mère que je me tournais, relevant doucement mon visage pour m'enquérir de son opinion contre à cette apparition soudaine dans notre salon. Ma tante me poussa alors vers la petite, et elle sourit, d'un sourire qui me fit penser qu'elle était peut-être un ange tombé du ciel. Mais pourquoi faire. Tournant la tête vers les deux seules femmes de ma vie, elles me firent signe et j'eus dans l'idée de copier mon père quand il revoyait ma mère ou rencontrait de nouvelles personnes s'arrêtant à la maison pour boire et manger les mets préparés par la cuisinières. Prenant maladroitement la main de la petite brune, j'y déposais un baiser furtf avant de sourire à mon tour. « Buongiorno, je m'appelle Erasmo. » Je n'avais que huit ans mais grâce à l'école où j'allais fréquemment parce que mes parents veillaient à ce que ma vie ne soit pas ponctuée par la richesse, j'avais acquis une belle élocution. « Je suis Luna. » La lune... Je ne pensais pas encore à cette époque à quel point elle éclairerait mon ciel. A quel point elle serait vitale à mon existence. Quoiqu'il en soit, le courant passa instantanément et nous devinrent inséparables. Les gens avaient tendances à nous prendre pour les jumeaux que nous n'étions pas et nous nous amusâmes de ces théories ridicules à nos yeux pour faire les quatre cents coups. Elle devint la meilleure amie, la soeur qui me manquait pour parfaitement colorer mon existence.

« Alors fiston, la célébrité soudaine, c'est jouissif non? » Ma vie n'avait été que simple, vous savez, une existence dont la normalité tranchait même avec la richesse exorbitante de ma famille. Une vie à laquelle j'avais dit au revoir quand j'avais accepté de mon oncle des cours de comédie pour partager cette passion qui régentait son existence. Un don, une voie, des opportunités. Et me voilà à peine majeur et déjà une véritable star dans le monde entier sans avoir même eu le temps de cligner des paupières. Il n'y a rien de plus déstabilisant que de se voir soudainement suivit par des paparazzi avides de n'importe quel cliché à mettre en couverture, des filles hystériques jurant être amoureuses de toi, des fans complétement folles capables de me suivre de New York en Australie. « J'avoue être un peu perplexe. » Je n'ai rien contre cette existence, bien au contraire, l'ayant souhaité. Ma carrière décollait et mine de rien, je faisais ce que j'aimais. Jouer et entrer dans la peau de plusieurs personnages différents, de personnes différentes étaient une expérience à laquelle je ne saurais renoncer. « Disons qu'être suivit et ne plus connaître l'anonymat est déstabilisant » Une claque dans le dos me fit légèrement avancé tandis que derrière les verres de mes lunettes de soleil, je l'observais légèrement amusé. « Il va falloir t'habituer mon garçon, tu ne risques pas d'y échapper. » Et pourtant faire les courses dans un magasin en ayant la paix me manquait. Ce manque de liberté parfois m'étouffait et mine de rien, mes possibilités quand à ma vie amicale et amoureuse s'en trouvaient changer. La confiance était difficilement donnée désormais tant les volontés des gens gravitant autour de moi étaient égoïstes. « Je le sais bien.... » Mes pensées se tournèrent vers une personne. Vers elle, la femme qui avait le plus d'importances à mes yeux, à savoir cette meilleure amie qui me perturbait de plus en plus. Notre lien allait-il changé à cause de mon emploi du temps, de mon éloignement?

Un éclat de rire me secoua alors que je la fixais allongé sur le canapé, les mains enserrant mon front. Sa colère était quelque chose, qui me plaisait bien que si je le pouvais, j'éviterais de faire apparaître un tel masque sur son visage. « Cara, je suis désolé mais je ne pense pas t'avoir posé de lapins, je suis là » Ma voix était légèrement moqueuse. Après tout, techniquement, je n'avais pas de compte à lui rendre. Certes, j'avais du retard, bien disons beaucoup de retard mais ce n'était pas non plus ma petite amie... bien que j'en rêvais intérieurement. « Du retard! Tu te fou de ma gueule là, je t'ai attendu quatre heures! » Bien énormément de retard je l'avouais. Mais vu qu'elle en avait profiter pour danser avec un autre type en m'attendant, elle n'avait pas vraiment matière à se plaindre. « Tu étais en bonne compagnie non? » Je grimaçais faiblement, assez pour qu'elle ne le remarque pas, regrettant déjà ma prise de parole. J'avais toujours été un peu du genre jaloux, à savoir de sa relation avec mes parents, de sa relation avec les autres, de la voir s'envoler. La peur étrange de la perdre alors que l'amitié était du solide dans tous les cas, en particulier la nôtre. Mais depuis peu, les sentiments que j'éprouvais pour elle perturbaient mon équilibre. La jalousie s'était intensifié et j'avais du mal à voir un homme autre que moi s'approcher d'elle. Et je savais par là même que des ennuis sérieux se profilaient. Me redressant, je m'approchais d'elle avant de lui sourire charmeur « Perdoname.... Je sais avoir un boulot prenant mais je prendrais sur moi et fuiraient les journalistes. Je ferais le mur à la prochaine interview forcée de mon agent. » Je lui fis un clin d'oeil avant de déposer un baiser furtif sur sa joue et de me rasseoir. Avec le parfum de sa peau pour me tenir compagnie quelques secondes. Avais je seulement le droit de l'aimer avec la vie que je menais? La regardant discrètement, je la dévorais des yeux. La souffrance me guettait, me faisait signe des doigts. Pour Luna, j'aimerais parfois tout recommencer. Mais le passé reste le passé désormais. Je l'aimais. Lui avouer était une autre histoire.